BALLADES EMPATHIQUES
A l’éloge d’un consensus de joliesse
J’en fus brisé de maintes affaisses
Les arrivées à l’échéance, tu gâtes
Un amusant, jeu de cours marâtres
Sans en tenir, la corde en devenir
Sans en prêcher, les bottes acquiescées
Résoudre l’énigme, le long des berges
Avant l’extinction des feux, l’âme diverge
En petites graminées au tendre perceptible
Gardant en innerve, le baladeur cible
Plaisent les anges, les remblais tangent
Ô mon camarade, fuse une tirade
Seul, comme il fut au réveil en amont
Déplié, au changement d’un papillon
Qui vire à liberté, pour sa fraîcheur
Ne plus, à l’horloge, fixer les heures
Car mère réserve, au passant la verve
De naître, de n’être, sonne la retraite
Dans les ballades empathiques
Dont je suis épigone et parent
Passera l’an, qualifié un sabbatique
A la conclusion ample, l’itinérant
Merci à mon ami Quentin pour le titre de ce poème