L’ENFANT TERRIBLE
La brise est venue, j’appartiens au passé
A avoir frôlé, les jouets imaginaires
Inventifs certes, ô combien négocié
Quand le désuet érectile ; se perd
Dédains et palissades, fut un glacier
Exempt le temps, de fondre à l’enchaîné
La désobligeance, un gouffre consulté
De la tristesse naquit l’identité
Et un signe d’ailleurs, rester au relief
Où même majeurs, se prennent au grief
La brise est venue, mon nom est enfer
Souvenez-vous des marches et rengaines
Les blâmes de haut-vol, l’étau se resserre
Autour des réprouvés, les rêves parrainent
L’enfant terrible ; protège son fatalisme
Il se cache, dans les rideaux du mondialisme
Il sera, l’escalade de sa propre dimension
Les gradients au banquet, triompherons
En guise de poings de l’or d’une fortune
A applaudir, le roi mort en tribune